Un blog idiot, avec un nom idiot, tenue par une idiote... De quoi parlerons nous dedans ? Mais de choses idiotes, bien sûr. Allant des séquences semie-romancées de ma superbement papas-ssionante vie, à une colonie d'opinions littéraires, musicales et artistiques sans intérêt, en passant par beaucoup de poésie de goutière. Chouette, quel programme, mes amis !

vendredi 2 novembre 2007

Oooooh, dis maman, et ça, c’est quoi ?

… « ça ? C’est un article sur le blog d‘Iris, mon chéri.
- Et c’est qui, Iris, maman ?
- Iris, mon chéri ? C’est la plus conne de toutes
les déesses de l’Olympe. Dépressive comme la petite pétasse égoïste qu’elle est et dotée d’un Q.I. d’acarien mort. »

Bref, allez c’est pas tout ça de s’auto-envoyer des fleurs, mais j’ai un article à poster. Comment ? Nooon, moi, ravagée du neurone ? Mais comment donc, mes chêêêrs c’est la plus têêêribeulle des véritées Vraies de ce monde pourtant pétri d’hypocrisie sur socle de mensonges. Eh ouaip, j’ai plus toute ma santé mentale. Ni même toute ma santé tout court. Et en plus je suis qu’une sale indigne. Sisi, ça fait un mois que j’ai commencé ce blog, et à peine le premier article pondu, je vous ai déjà abandonnés, seuls, livrés à vous-même en cette florissante jungle sauvage qu’est internet, sans même le minimum syndical d’un kit survie. Pardon ! Je suis désoléedésoléedésolée. J’ai pas d’excuses valable, puisque de toute façon, même les vraies raisons de mon lâche abandon sont bidons. C’est-à-dire que je déprime un peu beaucoup. J’ai beaucoup plein de trucs à faire, mais je les faits pas parce que je préfère me morfondre sur mon sort et me livrer au remplissage de morve de pauvres petits kleenex innocents. Bref, de me comporter en petite pétasse égoïste quoi. D’où le brillant dialogue en incipit. Enfin bref, tout cela est on ne peu plus passionant, et d’ailleurs, je sens que ça vous captive. Allez, on enchaîne. Pour me faire pardonner de ma si longue absence, je vais vous poster un ou deux dessins à moi. Même si de toute façon, vu le nombre de visites que je reçois (ne pas se fier au compteur d’à côté, il compte les « pages vues », et non les « visiteurs ». C’est-à-dire qu’à chaque fois que vous actualisez la page principale de mon blog, vous êtes comptabilisés parmi les nouveaux visiteurs.) Je sais pas pourquoi je prend la peine de ranimer mon grand corps malade de blog.
Oulàh. Terrible.
Bon, d’accord, et si j’arrêtais de me plaindre, maintenant ?
Ok ?
Allez, les gribouillages du jour. Enfin de la semaine. Non, du mois ! D’ailleurs à ce propos, à partir de maintenant, je crois que je vais essayer de poster un article mensuel. Et au pire, si je ne trouve rien à dire, je vous posterais mes dessins, hein ?.

Allez, le premier, soit les méfaits d’un 457825ème visionnage d’Autant en Emporte le Vent sur l’esprit d’une petite dinde acnéique, écervelée et pucelle (c’est-à-dire moi)


Notez que, dans un soucis de réalisme absolu, j’ai prit la peine de me dessiner telle qu’elle, avec mes boutons plein la gu*biiip* le visage, pardon. Sisi, vous voyez, tous les points rouges qu’ont dirait un champ de coquelicots miniature.


Maintenant le deuxième, avec Dumaaaaas et Dantèèèèès *mode groupie absolue*
Notez que la colo n’est pas finie, mais, bon, que voulez vous, hein ? ‘Faut pas trop m’en demander, à moi, aussi, hein, non plus….



Encore Dantèèèèès (Hiiiiiii ! Prend moi dans tes bras et enlève moi, ô prince immatériel de mes phantasmes les plus honteusemment pervers !) Mais en plus réaliste, cette fois. Inspiré des illustrations de l'édition originale.




Maintenant, un vieux (au moins deux ans) mais que j’adore. En fait, c’est même probablement mon dessin préféré parmi tout ceux qui hantent mon carton jusqu’à aujourd’hui.




Et pour finir, un récent, mais que j'aime aussi :



Sinon, j'ai découvert le groupe yaponais "Moi dix mois" fondé par le leader de l'ex Malice Mizer. C'est très chouette. Très dark attitude, c'est à dire grosses guitares sur fond d'orgue symphonique, agrémenté dans les clips, de vampires coiffés comme s'ils sortaient d'une série d'expériences avec l'electricité, de faux sang, et de jolies chemises blanches à jabots qui volent au vent (j'veux les même !) . A consommer avec modération, donc, mais parfaitement digeste. Et puis samedi dernier, à la Fnac, j'ai aussi craqué sur le requiem de Wolfiee (Traduisez Mozart, pour les non-initiés) dirigé par Harnoncourt. Sang du chriiiist j'adoooowwre ! C'est beau, c'est vibrant, c'est exalté, c'est... C'est... Bref, chaque fois que j'écoute Dies Irae, j'en ai des frisson du bout des orteils jusqu'au haut du crâne.



Allez, voilà, c’est tout. Je pourrais continuer à vous raconter ma vie, mais elle est pas intéressante, ces derniers temps, alors c’est même pas la peine.
Bien à vous, mes chers lecteurs fantômes, saluez donc Catherine et Heathcliff de ma part (Enfin surtout Heathcliffichounet, hein !) Tiens, au fait, ça me fait penser que je suis en pleine rechute de Kate Bushisite. J'écoute en boucle la chanson Wuthering Height et j'aime. Cette chanteuse a vraiment une voix en or. Vibrante, claire, aigue, pointue comme le tintement d'une cuillère à capuccino Auchan contre un vase Ming de cristal (métaphore idiote s'il en est, ahlala, le manque d'inspiration, c'est terrible). Surtout sur le refrain, quand elle chante "Heeeaaathcliiiiff, It's me, Cathy, I've come hooome". ça aussi, ça me fout le frisson des pieds à la tête. Mais en fait, c'est peut être aussi parce que je suis enrhumée, que j'arrête pas de frissonner ? Hum, la question est intéressante, et mérite un débat ultérieur.
Allez, Hasta la vista, ninos !(Genre je parle espagnol alors que je dois plafonner à 10 de moyenne dans cette matière honnie)


P.S. Demaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin De Cape et de Crocs 8 !
Yeeeeeeeeeeeeeeeeeeaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Goûtons ensemble un dernier instant de bonheur et de joie exaltée, avant de nous quitter (rime à la con.)

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