Un blog idiot, avec un nom idiot, tenue par une idiote... De quoi parlerons nous dedans ? Mais de choses idiotes, bien sûr. Allant des séquences semie-romancées de ma superbement papas-ssionante vie, à une colonie d'opinions littéraires, musicales et artistiques sans intérêt, en passant par beaucoup de poésie de goutière. Chouette, quel programme, mes amis !

dimanche 25 novembre 2007

encore un post... ?!

Fichtre, encore ! Youpie... ça vous en bouche le coin-coin, à tous, n'est-il pas ? J'ai décidé de peupler un peu la solitude glacée de ce blog en créeant tout un tas de petits frères à mes articles, histoires qu'ils ne se sentent pas trop seuls, perdus en ce froid et morne désert wè-bique...

Enfin bon me connaissant, sachez qu'il ne faut pas attendre d'efforts trop héraklessiens de ma part non plus. Je vais me contenter de vous copier coller texto (ooouh, la méssante, elle ira en enfer !) une ancienne critique postée sur un ancien blog, du merveilleux animé qu'est Gankutsuou. Je viens de me reregarder les 24 épisodes qui composent cette série ô combien géniale et innovante, et me voici donc en légère rechute "superfanatique".
Allez, enjoy. Ne prêtez pas attention au début (révélateur de la précocité de mes mauvais penchants. Astaroth aura quoi se délecter de mon âme), comme je vous l'ai signifié précédemment, cet article a été écris pour un autre blog et il y a déjà un certain temps. Bouh.

Voilà longtemps que je n'avais posté.... Brrrm... Découvert de nouvel animé, je voulais dire ! Très longtemps. Trop longtemps, même. Le temps et l'argent me faisant défaut, j'ai surtout concentré les premiers mois de ma seizième année à parfaire ma culture littéraire classique. Et puis, voilà un beau jour que, comme à mon habitude, mes hormones de jeune femme vierge qui en a assez de l'être, me dilatent le coeur jusqu'à y faire entrer un nouveau personnage. Fictif, naturellement, mais si un de mes mâles lecteurs pense se rapprocher de son profil, qu'il me contacte diligemment, je lui en serait reconnaissante. Le fait est ici, que je suis en ce moment raide dingue d'Edmond Dantès, alias le Comte de Monte Cristo, et issu du roman éponyme de m'sieur Dumas. Un chef d'oeuvre, ce roman, soi dit en passant. Un bijoux au style poli, à l'intrigue resplendissante, merveilleusement tortueuse, et aux personnages aux multiples facettes, fabuleusement complexes. après le "choc" Monte Cristo, je me suis dans un premier temps empressée de me procurer d'autres livres du sieur Alexandre, et dans un second temps, de faire chauffer google et la wiki grâce à ces simples - et si beaux - petits mots clef : "Comte" "Monte" et "Cristo"... Et voilà t'y pas que je trouve - grâce à mon petit moteur de recherche adulé, qui constitue assurément la plus belle invention de l'homme après l'Internet, la littérature, les Arts et le lecteur MP3 - voilà t'y pas que trouve. Ou plutôt découvre, les yeux humides, émerveillés, remplis d'admiration, un fabuleux animé du nom de Gankutsuou. Adaptation libre, futuriste... Et niponisante du Comte de Monte Cristo. Au premier abord, le synopsis avaient pourtant largement de quoi susciter chez moi - qui suis une puriste tout ce qu'il y a de plus... Pure - au pire un profond dégoût, et au mieux une oppressante envie de rire, écrasée par le poids du ridicule de l'adaptation. Imaginez vous donc ? L'histoire se passe non pas dans une galaxie lointaine, très très lointaine, quoi que peu s'en faut, mais dans un futur très très lointain, ou le conservationisme et les modes du dix-neuvièmes sont dépoussiérées et remises d'actualité. Bénis soi ce futur s'il arrive un jour ! Quant à Mo-mon(te Cristo) le voilà transformé - le pauvre - en vampire galactique. Le château d'If devient une prison interstellaire. L'abbé Faria, une entité maléfique confinée aux confins de l'espace, mais possédant toutefois un petit lien de parenté avec les aliens de Sigourney Weaver étant donné que le voilà décidé à squatter le corps d'Edmond. La fin aussi a eu droit à son remix sauce "Japonisante" puisque notre bel héros y meurt, non sans être passé auparavant, aux yeux du spectateur néophyte, pour le grand vilain pas-beau de l'histoire. Quel comble. Voilà bien pourquoi il est toujours important de lire les oeuvres originales avant d'en savourer une adaptation quelle qu'elle soit. Sans oublier le fait - Plutôt original, et donc intelligent, puisque toute forme d'originalité, d'excentricité, ou de simple rejet des limites réduites du commun et de l'abrutissant quotidien confinent à la forme du génie la plus absolue : l'indépendance - Sans oublier le fait que l'histoire commence non pas par le débarquement du Pharaon - transformé pour l'occasion en vaisseau de l'espace - Mais par le séjour d'Albert (de Morcerf) et de Franz (d'Epinay) à Rome (Rome la Grande, la Puissante, la Rayonnante, est rebaptisée "Planète Luna" dans l'animé) pour assister au carnaval. Soit la deuxième partie du Roman. Edmond passe donc son titre et ses médailles de héros à Albert, fils d'un de ses ennemis, et dont le caractère à été terriblement simplifié jusqu'à devenir limitrophe de la niaiserie la plus aberrante (Et oui, nous sommes dans un animé japonais, et Albert, comme tout héros japonais, se doit d'être l'incarnation de la somme de toutes les formes de Stupidité humaine. Pas glorieux comme CV, mais bon, sinon, si on déroge on devient Faire Valoir ou grand méchant - ce qui n'est guère mieux) Le jeune de Morcerf, nous apparaît donc comme le grand héros cristallisant ainsi les qualités et défauts de tous ses prédécesseurs japonais, au mépris du personnage tel que le décris m'sieur Dumas. Naïf, au coeur pur, courageux, il se laissera pourtant séduire par un mystérieux aristocrate aux allures "Alucariennes" (Note : Alucard, est l'anti-héro-vampire d'Hellsing. Lisez son nom à l'envers, pour voir.) aussi peu dissimulées que les deux canines d'une anormale longueur qui pointent de chacun de ses sourires, le Comte de Monte Cristo sur le compte (Huhu ! Attention, jeu de mot stupide et puéril. Risque de contamination. Vous voilà prévenus) duquel courent de nombreuses rumeurs, et qui semble porter au jeune homme, un intérêt aussi vif et soudain que douteux. Voilà donc, le synopsis que nous propose la maison Gonzo pour cette adaptation de la perle littéraire que nous à laissé le sieur Alexandre. Uhuh, les adorateurs du roman original ont largement de quoi rire... Jaune. Ou bleu, plutôt, puisque telle est la couleur de la peau du Comte...

Bien. Et alors maintenant, j'en suis sûre, vous vous dites tous : Roooh ! La méssante ! Mais qu'est ce qu'elle a contre cet Animé ? Elle l'encense au début, et voilà que maintenant elle le démonte ! Elle est schyzo, ou quoi ? Si tel est le cas, moi je me tire... C'est peut être contagieux... ?

Mais non, non ! Ami visiteur ne part pas ! Suspend ta fuite, et reste ici m'écouter ! Il ne faut surtout pas considérer Gankutsuou comme une adaptation linéaire du roman original, mais plutôt comme une oeuvre à part entière, librement inspiré du chef d'oeuvre de Dumas. Ouf, ça va mieux, maintenant, hein ?… (D’autant qu’en matière d’adaptation insultante, Depardieu nous as refilé pire…)

Parlons maintenant de ce qui m'a attiré dans cet animé, alors que mon impression de départ semblait si mauvaise. Eh bien tout simplement les graphismes ! Magnifiques,originaux et innovants cela va sans dire. Le chara-design est des plus basique, mais enrichi d'une palette d'expressions propres à chaque émotion excessivement riche et ostentatoire. La colère, l'amertume, la haine, voir même la folie du Comte en deviennent palpables. Les vêtements et décors, quant à eux allègres bouillabaisses de 2D et de 3D, parsemés d'arabesques et de motifs aussi ondulants et chamarrés qu'arabisants, flamboyants exemples de tout ce que la technologie moderne de l'animation a à offrir de plus beau, envoûtants et nous plongeant au coeur d'un univers séduisant d'esthétisme; Vêtements et décors représentent le véritable point fort d'une animation ravissante d'innovation. Les motifs complexes et scintillants qui ornent vestes et cheveux n'épousent absolument les formes ni les ombres de ces derniers et semblent mû uniquement par leur propre chef, ce qui ne fait que rajouter une touche magique à l'onirisme des ambiances. Les musiques, quant à elles, n'en demeurent pas moins très belles - baroque et fantasque, et par là parfaitement adaptées à la série - Mais mon dictionnaire intérieur commence à être à court de laudatifs, et comme j'ai horreur de me répéter, je finirais ici avec cette conclusion : Je ne laisserait jamais d'admirer la belle gueule du Comte, soi la classe faite extra-terrestre.


P.S. Et puis, aller, pour nous faire plaisir à vous et à moi, une petite Amv trouvée sur youtube, et qui m'a beaucoup marquée :



Je rajouterais des images plus tard...

P.S. (bis) Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque je relis cette critique, j'ai la désagréable impression que la maturité de mon style suit une évolution on ne peut plus régressive. Pitié, mes charmants lecteurs, détrompez moi, si vous tenez un tant soi peu à l'équilibre moral de votre bloggueuse favorite (petite voix *c'est malin, maintenant ils vont tous abonder dans le sens de ton caprice égocentrique*)

Bientôt dans vos bac, mèdames zéé mèssieurs

Talaa ! Pour vous et rien que pour votre bon plaisir, je vous délivre sans plus tarder une "priviou", comme diraient si bien nos pluvieux amis d'outre manche, de ce qui sera mon futur chef d'oeuvre. Ainsi, c'est donc un aperçu de mon premier dollmaker que vos petits yeux humides, éblouis par tant de magnificience, de maitrise et de génie créatif peuvent ici contempler, troublant vos âmes d'une admiration éperdue.
Et si je m'envoie autant de fleurs depuis tout à l'heure, c'est qu'il faut bien propagander un peu sa production, technique marketting, 'pouvez pas comprendre, de toute façon, vous faites pas d'économie, vous (et dieu vous en préserve, mes amis)



Les robes mériteraient leurs places sur les dos plastifiés des mannequins du London Dungeon tant elles offensent l'oeil de par leur cruel deficit esthétique, mais pardon, mon plaidoyer. Je les ait faites à la souris ! Comment ? Pas une excuse ? Les oekakis ? Y'en as qui maitrisent très bien le dessin à la souris ? Mais que diable, je n'en suis point, moi ! Je dessine comme un pied, et je m'en targue, na !
Bon allez, et comme tout ceci est d'un intérêt démentiel (je remarque que je dis ça à chaque fois... Grand dieu c'est dire si l'intérêt de ce blog est d'une sidérante vacuité intellectuelle) Je vous laisse avec mon chef-d'oeuvre. Dès que j'aurais appris à me servir de Flache, j'vous promet, vous pourrez faire bouger les vêtements et les appliquer à mon mannequin aux grands pieds (C'est pas gagné...)

Bien à vous
A tchao bonsoir !

Ps : à, offait-euh, les zamis, je voulais vous en parler dans mon précédent article, mais j'ai oublié. Concernant les actuels remous du long fleuve pas vraiment tranquile de ma vie. Eh bien devinez quoi, j'ai toujours pas mon attestation (je parie que vous n'avez pas eu le temps de deviner, mais zut. J'suis pressée, moi). Les fonctionnaires municipaux justifient une fois de plus leur répution légendaire de limaces paraplégiques. Mais bon, ils m'ont accordé un délais, à l'administration de mon lycée, alors ça va. Advienne que pourra. La suite au prochain numéro....

samedi 24 novembre 2007

Toute la miouzike que zaiiiiime-euh !

Bon, comme je n'arrive pas intégrer une playliste radioblog à ma barre de navigation, je m'en retrouve contrite à ça. Faire un article à la con uniquement pour poster un clip. Et rien d'autre. J'aime pas ça mais là, il fallait pourtant abso-lu-ment que je partage avec vous mon coup de coeur musical du moment
Tada-daaa



Wiii are ze monsteerrrze !

Du zoli rock, un tantinet sombre, bien rythmé qui donne envie de se déhancheeer . Et j'aime l'ambiance gentimment cauchemardesque qui se dégage du clip. Enfin surtout les passages où l'on voit le groupe en train de jouer dans des vêtements d'une classe certaine et qui ne sont pas sans rappeller le grand quatuor liverpoolois d'essence divine. Pour ce qui est de la fin, concernant la charmante mannequin au tit cul bien moulé qui se roule dans ce qui semble être du goudron (?), permettez moi très chers de m'en gausser quelque peu.
Par contre, un conseil les zamis, savourez ce morceaus et ne cherchez pas à en écouter d'autres de ce groupe sous peine de voir tous vos frêles espoirs brisés sans pitié, et donc d'être on ne peut plus déçus. Considérez en effet, que cette chanson là est assez différente de ce qu'ils font d'habitude. C'est à dire, alternativement, soit de l'emo (Sous entendu de la kloug. La culture emo m'horripile au plus haut point et que c'est pas demain la veille que je me ferais tatouer "I love my chemical romance" sur le bras.) soit du rock américain à la green day, uhuh, ce qui n'est guère mieux, voir ce qui est même pire oserais-je rajouter.
Brèèfeeuh. J'ai rien d'autre à dire. Mais je vous avais prévenu. Alors pshit. Je met des points partout. C'est parce qu'il faut. Que j'apprenne (eaurtograffe ?). A faire. Des phrases courtes.
Voilà....
Hum.
C'est pas pour dire, mais il est vraiment con ce blog.
Allez, j'arrète ici le massacre
Do Zvidanya, les gens

Pé-èsse : Tiens au fait, les apprentis Sherlock auront remarqué la zoulie bannière qui orne désormais le chef de ce blog, histoire de l'enlaidir encore un peu. J'ai assez galéré pour la mettre mais j'en suis contente.

vendredi 2 novembre 2007

Oooooh, dis maman, et ça, c’est quoi ?

… « ça ? C’est un article sur le blog d‘Iris, mon chéri.
- Et c’est qui, Iris, maman ?
- Iris, mon chéri ? C’est la plus conne de toutes
les déesses de l’Olympe. Dépressive comme la petite pétasse égoïste qu’elle est et dotée d’un Q.I. d’acarien mort. »

Bref, allez c’est pas tout ça de s’auto-envoyer des fleurs, mais j’ai un article à poster. Comment ? Nooon, moi, ravagée du neurone ? Mais comment donc, mes chêêêrs c’est la plus têêêribeulle des véritées Vraies de ce monde pourtant pétri d’hypocrisie sur socle de mensonges. Eh ouaip, j’ai plus toute ma santé mentale. Ni même toute ma santé tout court. Et en plus je suis qu’une sale indigne. Sisi, ça fait un mois que j’ai commencé ce blog, et à peine le premier article pondu, je vous ai déjà abandonnés, seuls, livrés à vous-même en cette florissante jungle sauvage qu’est internet, sans même le minimum syndical d’un kit survie. Pardon ! Je suis désoléedésoléedésolée. J’ai pas d’excuses valable, puisque de toute façon, même les vraies raisons de mon lâche abandon sont bidons. C’est-à-dire que je déprime un peu beaucoup. J’ai beaucoup plein de trucs à faire, mais je les faits pas parce que je préfère me morfondre sur mon sort et me livrer au remplissage de morve de pauvres petits kleenex innocents. Bref, de me comporter en petite pétasse égoïste quoi. D’où le brillant dialogue en incipit. Enfin bref, tout cela est on ne peu plus passionant, et d’ailleurs, je sens que ça vous captive. Allez, on enchaîne. Pour me faire pardonner de ma si longue absence, je vais vous poster un ou deux dessins à moi. Même si de toute façon, vu le nombre de visites que je reçois (ne pas se fier au compteur d’à côté, il compte les « pages vues », et non les « visiteurs ». C’est-à-dire qu’à chaque fois que vous actualisez la page principale de mon blog, vous êtes comptabilisés parmi les nouveaux visiteurs.) Je sais pas pourquoi je prend la peine de ranimer mon grand corps malade de blog.
Oulàh. Terrible.
Bon, d’accord, et si j’arrêtais de me plaindre, maintenant ?
Ok ?
Allez, les gribouillages du jour. Enfin de la semaine. Non, du mois ! D’ailleurs à ce propos, à partir de maintenant, je crois que je vais essayer de poster un article mensuel. Et au pire, si je ne trouve rien à dire, je vous posterais mes dessins, hein ?.

Allez, le premier, soit les méfaits d’un 457825ème visionnage d’Autant en Emporte le Vent sur l’esprit d’une petite dinde acnéique, écervelée et pucelle (c’est-à-dire moi)


Notez que, dans un soucis de réalisme absolu, j’ai prit la peine de me dessiner telle qu’elle, avec mes boutons plein la gu*biiip* le visage, pardon. Sisi, vous voyez, tous les points rouges qu’ont dirait un champ de coquelicots miniature.


Maintenant le deuxième, avec Dumaaaaas et Dantèèèèès *mode groupie absolue*
Notez que la colo n’est pas finie, mais, bon, que voulez vous, hein ? ‘Faut pas trop m’en demander, à moi, aussi, hein, non plus….



Encore Dantèèèèès (Hiiiiiii ! Prend moi dans tes bras et enlève moi, ô prince immatériel de mes phantasmes les plus honteusemment pervers !) Mais en plus réaliste, cette fois. Inspiré des illustrations de l'édition originale.




Maintenant, un vieux (au moins deux ans) mais que j’adore. En fait, c’est même probablement mon dessin préféré parmi tout ceux qui hantent mon carton jusqu’à aujourd’hui.




Et pour finir, un récent, mais que j'aime aussi :



Sinon, j'ai découvert le groupe yaponais "Moi dix mois" fondé par le leader de l'ex Malice Mizer. C'est très chouette. Très dark attitude, c'est à dire grosses guitares sur fond d'orgue symphonique, agrémenté dans les clips, de vampires coiffés comme s'ils sortaient d'une série d'expériences avec l'electricité, de faux sang, et de jolies chemises blanches à jabots qui volent au vent (j'veux les même !) . A consommer avec modération, donc, mais parfaitement digeste. Et puis samedi dernier, à la Fnac, j'ai aussi craqué sur le requiem de Wolfiee (Traduisez Mozart, pour les non-initiés) dirigé par Harnoncourt. Sang du chriiiist j'adoooowwre ! C'est beau, c'est vibrant, c'est exalté, c'est... C'est... Bref, chaque fois que j'écoute Dies Irae, j'en ai des frisson du bout des orteils jusqu'au haut du crâne.



Allez, voilà, c’est tout. Je pourrais continuer à vous raconter ma vie, mais elle est pas intéressante, ces derniers temps, alors c’est même pas la peine.
Bien à vous, mes chers lecteurs fantômes, saluez donc Catherine et Heathcliff de ma part (Enfin surtout Heathcliffichounet, hein !) Tiens, au fait, ça me fait penser que je suis en pleine rechute de Kate Bushisite. J'écoute en boucle la chanson Wuthering Height et j'aime. Cette chanteuse a vraiment une voix en or. Vibrante, claire, aigue, pointue comme le tintement d'une cuillère à capuccino Auchan contre un vase Ming de cristal (métaphore idiote s'il en est, ahlala, le manque d'inspiration, c'est terrible). Surtout sur le refrain, quand elle chante "Heeeaaathcliiiiff, It's me, Cathy, I've come hooome". ça aussi, ça me fout le frisson des pieds à la tête. Mais en fait, c'est peut être aussi parce que je suis enrhumée, que j'arrête pas de frissonner ? Hum, la question est intéressante, et mérite un débat ultérieur.
Allez, Hasta la vista, ninos !(Genre je parle espagnol alors que je dois plafonner à 10 de moyenne dans cette matière honnie)


P.S. Demaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin De Cape et de Crocs 8 !
Yeeeeeeeeeeeeeeeeeeaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Goûtons ensemble un dernier instant de bonheur et de joie exaltée, avant de nous quitter (rime à la con.)