Un blog idiot, avec un nom idiot, tenue par une idiote... De quoi parlerons nous dedans ? Mais de choses idiotes, bien sûr. Allant des séquences semie-romancées de ma superbement papas-ssionante vie, à une colonie d'opinions littéraires, musicales et artistiques sans intérêt, en passant par beaucoup de poésie de goutière. Chouette, quel programme, mes amis !

dimanche 25 novembre 2007

Bientôt dans vos bac, mèdames zéé mèssieurs

Talaa ! Pour vous et rien que pour votre bon plaisir, je vous délivre sans plus tarder une "priviou", comme diraient si bien nos pluvieux amis d'outre manche, de ce qui sera mon futur chef d'oeuvre. Ainsi, c'est donc un aperçu de mon premier dollmaker que vos petits yeux humides, éblouis par tant de magnificience, de maitrise et de génie créatif peuvent ici contempler, troublant vos âmes d'une admiration éperdue.
Et si je m'envoie autant de fleurs depuis tout à l'heure, c'est qu'il faut bien propagander un peu sa production, technique marketting, 'pouvez pas comprendre, de toute façon, vous faites pas d'économie, vous (et dieu vous en préserve, mes amis)



Les robes mériteraient leurs places sur les dos plastifiés des mannequins du London Dungeon tant elles offensent l'oeil de par leur cruel deficit esthétique, mais pardon, mon plaidoyer. Je les ait faites à la souris ! Comment ? Pas une excuse ? Les oekakis ? Y'en as qui maitrisent très bien le dessin à la souris ? Mais que diable, je n'en suis point, moi ! Je dessine comme un pied, et je m'en targue, na !
Bon allez, et comme tout ceci est d'un intérêt démentiel (je remarque que je dis ça à chaque fois... Grand dieu c'est dire si l'intérêt de ce blog est d'une sidérante vacuité intellectuelle) Je vous laisse avec mon chef-d'oeuvre. Dès que j'aurais appris à me servir de Flache, j'vous promet, vous pourrez faire bouger les vêtements et les appliquer à mon mannequin aux grands pieds (C'est pas gagné...)

Bien à vous
A tchao bonsoir !

Ps : à, offait-euh, les zamis, je voulais vous en parler dans mon précédent article, mais j'ai oublié. Concernant les actuels remous du long fleuve pas vraiment tranquile de ma vie. Eh bien devinez quoi, j'ai toujours pas mon attestation (je parie que vous n'avez pas eu le temps de deviner, mais zut. J'suis pressée, moi). Les fonctionnaires municipaux justifient une fois de plus leur répution légendaire de limaces paraplégiques. Mais bon, ils m'ont accordé un délais, à l'administration de mon lycée, alors ça va. Advienne que pourra. La suite au prochain numéro....

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